FIRST CONTACT /
Ritournelle
First Contact — 2023
Christopher Alexander Kostritsky Gellert
Installation sonore : haut-parleurs, tissu, textes, exposée pour la première fois au sein de l’exposition collective "Chemins partagés" à la Générale Nord-Est à Paris du 4 au 9 avril 2023
Christopher Alexander Kostritsky Gellert
Installation sonore : haut-parleurs, tissu, textes, exposée pour la première fois au sein de l’exposition collective "Chemins partagés" à la Générale Nord-Est à Paris du 4 au 9 avril 2023
"écoutez
j’oublie ma langue
chaque matin je me la rappelle
et les chants me réveillent
dans leur éternel retour..."
Depuis septembre 2022, Christopher Alexander Kostritsky Gellert entreprend une
enquête à travers laquelle ille cherche à établir un dialogue entre les être-humains et les autres espèces : insectes, plantes et animaux. Cette enquête débute par un cas étude : ses voisins oiseaux dans son quartier à Marseille - perchés et face à la mer.
First Contact présente ainsi les prémices de cette enquête en cours : ses premières
expériences de dialogue avec les oiseaux qui l’entourent dans son quartier, chez-ille, mais aussi les fruits de ses correspondances qui témoignant de l’entente entre l’artiste et ces espèces, et plus largement entre les êtres-humains et les êtres-oiseaux. L’installation trace ainsi leurs histoires, leurs chants, leurs envols et leurs horizons communs.
À la suite de cette première expérimentation, Christopher A. K. Gellert poursuit ses
recherches par un projet plus vaste dans la création d’une constellation de langages inter-espèces au sein du collectif Tramages. Afin d’intensifier notre écoute les un·e·s aux autres, cette constellation tentera différentes formes de traductions entre nos langages, les chants d’oiseaux, les danses des abeilles, les vibrations des arbres... Par le biais de nos échanges - de cette polyphonie – l’artiste cherche à instaurer des relations plus respectueuses, harmonieuses et aimantes entre nous les êtres-humains et le plus qu’humain.
Remerciements à Jessica Feldman, Marion Ficher, Julien Marty et Sarah Ouazzani pour leur aide dans la mise en place de l’installation sonore.
j’oublie ma langue
chaque matin je me la rappelle
et les chants me réveillent
dans leur éternel retour..."
Depuis septembre 2022, Christopher Alexander Kostritsky Gellert entreprend une
enquête à travers laquelle ille cherche à établir un dialogue entre les être-humains et les autres espèces : insectes, plantes et animaux. Cette enquête débute par un cas étude : ses voisins oiseaux dans son quartier à Marseille - perchés et face à la mer.
First Contact présente ainsi les prémices de cette enquête en cours : ses premières
expériences de dialogue avec les oiseaux qui l’entourent dans son quartier, chez-ille, mais aussi les fruits de ses correspondances qui témoignant de l’entente entre l’artiste et ces espèces, et plus largement entre les êtres-humains et les êtres-oiseaux. L’installation trace ainsi leurs histoires, leurs chants, leurs envols et leurs horizons communs.
À la suite de cette première expérimentation, Christopher A. K. Gellert poursuit ses
recherches par un projet plus vaste dans la création d’une constellation de langages inter-espèces au sein du collectif Tramages. Afin d’intensifier notre écoute les un·e·s aux autres, cette constellation tentera différentes formes de traductions entre nos langages, les chants d’oiseaux, les danses des abeilles, les vibrations des arbres... Par le biais de nos échanges - de cette polyphonie – l’artiste cherche à instaurer des relations plus respectueuses, harmonieuses et aimantes entre nous les êtres-humains et le plus qu’humain.
Remerciements à Jessica Feldman, Marion Ficher, Julien Marty et Sarah Ouazzani pour leur aide dans la mise en place de l’installation sonore.
photos : Ghazaal Ghahveh
Ritournelle — 2023
Ana Rita Nicoliello & Christopher Alexander Kostritsky Gellert
Performance activée pour la première fois le 8 avril 2023 à la Générale Nord-Est, Paris
Ana Rita Nicoliello & Christopher Alexander Kostritsky Gellert
Performance activée pour la première fois le 8 avril 2023 à la Générale Nord-Est, Paris
Ritournelle met en scène une tentative de dialogue entre deux êtres humains et les
oiseaux qui les entourent - par des mots, des chants et des gestes - en vous invitant à faire ensemble, à rentrer dans le dialogue et le mouvement, s’y retrouver.
oiseaux qui les entourent - par des mots, des chants et des gestes - en vous invitant à faire ensemble, à rentrer dans le dialogue et le mouvement, s’y retrouver.
photo : Alexia Antuofermo
Archive DES GESTES INTERDITS
performance et installation en collaboration avec Alexia Antuofermo, la vidéaste Laurine Wagner et les danseuses Logan Sandrige et Alice Miljanovic
Semaine des Arts à l'Université Paris 8, 2021
Semaine des Arts à l'Université Paris 8, 2021
Quand toucher devient un risque pour l’un·e comme pour l’autre, comment peut-on remémorer nos relations intimes à l’heure de la distanciation sociale ? Quand se retrouver - c’est se contaminer - quelles modes actions nous sont désormais possibles pour récupérer notre proximité ?
À partir d’une collecte de témoignages des gestes manqués des étudiant·e·s, enseignant·e·s personnel et de l’Université Paris 8, nous avons créé une archive sonore des ces témoignages et les avons inscrit sur le sol du campus afin d'inviter les passant·e·s de les traverser en dansant.
À partir d’une collecte de témoignages des gestes manqués des étudiant·e·s, enseignant·e·s personnel et de l’Université Paris 8, nous avons créé une archive sonore des ces témoignages et les avons inscrit sur le sol du campus afin d'inviter les passant·e·s de les traverser en dansant.
VERS deS Vers
Christopher Alexander Kostritsky Gellert & Alexia Antuofermo
Gravures et impressions sur divers matériaux de récupération, vidéos numériques, 2020
Gravures et impressions sur divers matériaux de récupération, vidéos numériques, 2020
Série de vidéos réalisées en collaboration avec l’équipe de la médiathèque de Montrouge et les participant·e·s aux ateliers d’écritures coordonnés par Paquita Naud et Brigitte Bossavy
Le jour d’après, dans quel monde se réveillera t-on ?
Pendant notre confinement les vers des vers ont travaillé ardemment en creusant des sillons dans l'espace-temps ; ils nous ont laissé des mots. À leur recherche, nous avons filmé et suivi leurs traces en parcourant les sentiers Montrougiens.Ils se sont installés ça et là dans les rues de la ville dans l’attente des jours à venir. Ces présages d’un futur proche ou lointain étaient interprété·e·s par les lecteur·trice·s de la médiathèque et les participant·e·s aux ateliers d’écriture, qui ont invoqué l’avenir en quelques mots.
Avis de recherche ! D’autres vers se sont échappés et continuent à se frayer des chemins dans la ville. Alors gardez les yeux ouverts. Si au détour d’un chemin vous retrouvez leur trace, notez-la, emparez-vous d’elle, gardez-la et envoyez-nous un mot ! [email protected]
Venez avec ! Une fois que tous les vers seront rassemblés -et commenceront à s’échanger-, nous les invoquerons ensemble. Arpentons cette cartographie sensible de la ville et ses devenirs.
Le jour d’après, dans quel monde se réveillera t-on ?
Pendant notre confinement les vers des vers ont travaillé ardemment en creusant des sillons dans l'espace-temps ; ils nous ont laissé des mots. À leur recherche, nous avons filmé et suivi leurs traces en parcourant les sentiers Montrougiens.Ils se sont installés ça et là dans les rues de la ville dans l’attente des jours à venir. Ces présages d’un futur proche ou lointain étaient interprété·e·s par les lecteur·trice·s de la médiathèque et les participant·e·s aux ateliers d’écriture, qui ont invoqué l’avenir en quelques mots.
Avis de recherche ! D’autres vers se sont échappés et continuent à se frayer des chemins dans la ville. Alors gardez les yeux ouverts. Si au détour d’un chemin vous retrouvez leur trace, notez-la, emparez-vous d’elle, gardez-la et envoyez-nous un mot ! [email protected]
Venez avec ! Une fois que tous les vers seront rassemblés -et commenceront à s’échanger-, nous les invoquerons ensemble. Arpentons cette cartographie sensible de la ville et ses devenirs.
Vitrine de La Médiathèque de Montrouge
PôLE DANSE
Christopher Alexander Kostritsky Gellert, Alexia Antuofermo, Maëlle Berthoumieu
proposition d'un jardin éphémère lors des jardin des mondes en mouvement 2020 à La Cité internationale universitaire à Paris
proposition d'un jardin éphémère lors des jardin des mondes en mouvement 2020 à La Cité internationale universitaire à Paris
Au fil des saisons, les résident•e•s de la Cité à donneront vie au jardin Léopold Senghor. Transformé en jardin potager, des végétaux seront plantés, cultivés, consommés pour et avec les résident•e•s. Ce jardin aspire à repenser nos modes de vies et de la nécessité de réattribuer des espaces dédiés à l’agriculture, cultivant jardin et communauté.
Les pensées et les végétaux émergeront de ce jardin qui se parsèmera de pousses poétiques et de voeux pour l’avenir recueillis au cours des ateliers d’écriture. Lors de la fête de la Cité, le jardin sera inauguré avec une danse de l’arbre de mai.
Les pensées et les végétaux émergeront de ce jardin qui se parsèmera de pousses poétiques et de voeux pour l’avenir recueillis au cours des ateliers d’écriture. Lors de la fête de la Cité, le jardin sera inauguré avec une danse de l’arbre de mai.
Ce jardin s’inscrit dans l’histoire de la Cité internationale universitaire, un lieu où des personnes de toutes nationalités peuvent vivre en paix, manger à la même table et dormir sous le même toit.
En choisissant la Fondation Deutsch de la Meurthe le passé de la Cité et son avenir entrent en correspondances, traversent les frontières et relie les humains et les autres espèces.
En choisissant la Fondation Deutsch de la Meurthe le passé de la Cité et son avenir entrent en correspondances, traversent les frontières et relie les humains et les autres espèces.
passages en actes
Christopher Alexander Kostritsky Gellert & Alexia Antuofermo
bois récupéré gravé, mots, dimensions variables, 2019
installation et performance dans l’exposition Épagôgè au 59 Rivoli
commissariat : Magali-Rifflart Villeneuve et Andreea Macea
est une invitation au déplacement. Invoquer les textes, les piétiner, les déranger – détourner la ligne. L’œuvre se transforme en permanence, fluctue à travers la marche des promeur·euse·s. C’est un radeau, un refuge, un tapis magique où les mots traversés et invoqués entrent en résonnance avec le corps et l’esprit — où les deux se rencontrent. Le bois – retrouvé, rescapé, récupéré – nous chuchote. Veuillez l’entendre, le décrypter avec les pointes de pieds, les bouts des doigts, le frottement des poils. C’est un rituel, une récitation, une épreuve où chaque épave, bout de vers est une formule magique, un koan — un appel à la régénération. C’est une ligne de gestes, d’actes et de mots.
photos : Margaux Taleux
Christopher Alexander Kostritsky Gellert & Alexia Antuofermo
bois récupéré gravé, mots, dimensions variables, 2019
installation et performance dans l’exposition Épagôgè au 59 Rivoli
commissariat : Magali-Rifflart Villeneuve et Andreea Macea
est une invitation au déplacement. Invoquer les textes, les piétiner, les déranger – détourner la ligne. L’œuvre se transforme en permanence, fluctue à travers la marche des promeur·euse·s. C’est un radeau, un refuge, un tapis magique où les mots traversés et invoqués entrent en résonnance avec le corps et l’esprit — où les deux se rencontrent. Le bois – retrouvé, rescapé, récupéré – nous chuchote. Veuillez l’entendre, le décrypter avec les pointes de pieds, les bouts des doigts, le frottement des poils. C’est un rituel, une récitation, une épreuve où chaque épave, bout de vers est une formule magique, un koan — un appel à la régénération. C’est une ligne de gestes, d’actes et de mots.
photos : Margaux Taleux
Villes verrières
Christopher Alexander Kostritsky Gellert & Alexia Antuofermo
Ciment, terre, sable, acrylique plastique, mots, impression UV, 30 x 30 cm maximum pour chaque pièce, 2019
installation présentée lors de exposition "Art Métropole" à l'École de l’Urbanisme de Paris et pendant "Future Days" à L'Université Gustave-Eiffel
commissariat : Hadrien Frémont
Christopher Alexander Kostritsky Gellert & Alexia Antuofermo
Ciment, terre, sable, acrylique plastique, mots, impression UV, 30 x 30 cm maximum pour chaque pièce, 2019
installation présentée lors de exposition "Art Métropole" à l'École de l’Urbanisme de Paris et pendant "Future Days" à L'Université Gustave-Eiffel
commissariat : Hadrien Frémont
Ce triptyque de villes mêle le béton aux récits et aux images. Elles se cristallisent à partir d’impressions de textures de végétaux et du texte. Elles interrogent la place et (ou l’absence) des êtres vivants et la colonisation de l’espace urbain par les données et les réseaux informatiques. Ces villes-artefacts sont déracinées du corps terrestre, elles laissent apparaître leurs fondations bétonnées et l’empreinte de la terre qui les porte. Révélant aussi cet espace non visible, Villes Verrières questionne la ramification de nos désirs urbains et de l’entopie…
photos : Taylor Smith
Archipel désert
Alexia Antuofermo et Christopher Alexander Kostritsky Gellert
Ciment, terre, sable, acrylique plastique, mots, impression UV, 300 cm x
300 cm, 2019
Ciment, terre, sable, acrylique plastique, mots, impression UV, 300 cm x
300 cm, 2019
BALlade
Christopher Alexander Kostritsky Gellert & Alexia Antuofermo
Performance au Festival des Écritures bougées 2019 au Centre d'art contemporain, La Traverse, Alfortville
Christopher Alexander Kostritsky Gellert & Alexia Antuofermo
Performance au Festival des Écritures bougées 2019 au Centre d'art contemporain, La Traverse, Alfortville
photos : Aziyadé Badouin Talec
Issu d’une collaboration entre Christopher Alexander Kostritsky Gellert et Alexia Antuofermo, l’intention de ce projet est de travailler sur la relation entre l’itinéraire et la déviation. Nous nous interrogeons sur la manière dont un itinéraire se transforme en expériences par une approche poétique de la déviation. Conçu au préalable, l’itinéraire est la route à suivre pour se déplacer d’un point à un autre, la dérive apporte de l’imprévu. Ce projet est initié par une interaction simple : demander aux passant.e.s dans la rue si on peut les accompagner sur leurs chemins. L’intention de ce projet est de faire vivre l’expérience de la déviation au spectateur-acteur à travers une personnification cartographique. Conçu comme un bal, privilégiant l’attention à l’espace et aux autres, nous souhaitons instaurer une dyslexie visuelle et acoustique en mêlant les divers témoignages actives par le public.
Issu d’une collaboration entre Christopher Alexander Kostritsky Gellert et Alexia Antuofermo, l’intention de ce projet est de travailler sur la relation entre l’itinéraire et la déviation. Nous nous interrogeons sur la manière dont un itinéraire se transforme en expériences par une approche poétique de la déviation. Conçu au préalable, l’itinéraire est la route à suivre pour se déplacer d’un point à un autre, la dérive apporte de l’imprévu. Ce projet est initié par une interaction simple : demander aux passant.e.s dans la rue si on peut les accompagner sur leurs chemins. L’intention de ce projet est de faire vivre l’expérience de la déviation au spectateur-acteur à travers une personnification cartographique. Conçu comme un bal, privilégiant l’attention à l’espace et aux autres, nous souhaitons instaurer une dyslexie visuelle et acoustique en mêlant les divers témoignages actives par le public.
à droite, carte réalisée à partir de l’ensemble des croquis d’itinéraires des promeneurs ;
en bas, transcription poétique à partir d'une ballade (Fanny)
j’habite vraiment pas très loin
vous me prenez là
et je vais là
chez moi c’est bien comme... c’est dans le nord
la famille
dans le nord de Paris
la famille est à l’hôpital et voilà
j’ai tous mes repères ici
non, non
je travaille depuis longtemps
en bas, transcription poétique à partir d'une ballade (Fanny)
j’habite vraiment pas très loin
vous me prenez là
et je vais là
chez moi c’est bien comme... c’est dans le nord
la famille
dans le nord de Paris
la famille est à l’hôpital et voilà
j’ai tous mes repères ici
non, non
je travaille depuis longtemps
Jardin Memoria
Christopher Alexander Kostritsky Gellert, Alexia Antuofermo,
Maram Rekik, Sarra Ketroussi
Projet conçu pour l’appel à candidature Les jardins du monde en mouvement
2019 de La Cité Internationale Universitaire
À l’ère d’un changement climatique, des prises de conscience de
l’anthropocène et de l’impact de nos actions sur l’avenir de la planète,
nous avons choisi de répondre à cette candidature par une fiction
écologique. Notre proposition prend la forme d’un monumentjardin
qu’une génération future aurait érigé en mémoire des actions
que nous aurions effectuer au cours de l’histoire. La symbolique du
passage et de la transition invite les visiteurs à parcourir l’histoire en
les amenant à réfléchir sur l’avenir.
Maram Rekik, Sarra Ketroussi
Projet conçu pour l’appel à candidature Les jardins du monde en mouvement
2019 de La Cité Internationale Universitaire
À l’ère d’un changement climatique, des prises de conscience de
l’anthropocène et de l’impact de nos actions sur l’avenir de la planète,
nous avons choisi de répondre à cette candidature par une fiction
écologique. Notre proposition prend la forme d’un monumentjardin
qu’une génération future aurait érigé en mémoire des actions
que nous aurions effectuer au cours de l’histoire. La symbolique du
passage et de la transition invite les visiteurs à parcourir l’histoire en
les amenant à réfléchir sur l’avenir.
L’Œuvre dématérialisée (L’art dans la Chtulucène)
organisation et participation dans une table ronde performative à la Maison de l’Argentine dans le cadre de l’Université de la Paix à la Cité internationale universitaire de Paris avec l’atelier Raffard-Roussel, Florencia Hisi et Sumboy Vrainom €
photo : Marion Fischer
À l’ère du Chthulcène où on constate une imbrication vertigineuse entre les être-humains et les autres espèces et où nous ressources naturelles sont de plus en plus rares et précieuses, il est important de réfléchir sur la matérialité de l’œuvre d’art et ses conséquences écologiques (en transport, matériaux, production etc.) et d’inventer des alternatives qui redéfinissent l’expérience artistique. Lors de cette table ronde avec le collectif d’artistes Raffard-Roussel et les chercheur.euse.s et artistes Christopher Alexander Kostritsky Gellert, Florencia Hisi et Seumboy Vrainom € :, chacun.e a présenté ses recherches en cours à la fois sous la forme de performances au sein de la table ronde, et de présentations de nos travaux en cours. Nous avons dialogué ensuite avec le public réuni.
photo : Marion Fischer
À l’ère du Chthulcène où on constate une imbrication vertigineuse entre les être-humains et les autres espèces et où nous ressources naturelles sont de plus en plus rares et précieuses, il est important de réfléchir sur la matérialité de l’œuvre d’art et ses conséquences écologiques (en transport, matériaux, production etc.) et d’inventer des alternatives qui redéfinissent l’expérience artistique. Lors de cette table ronde avec le collectif d’artistes Raffard-Roussel et les chercheur.euse.s et artistes Christopher Alexander Kostritsky Gellert, Florencia Hisi et Seumboy Vrainom € :, chacun.e a présenté ses recherches en cours à la fois sous la forme de performances au sein de la table ronde, et de présentations de nos travaux en cours. Nous avons dialogué ensuite avec le public réuni.